vendredi 19 avril 2013

Troupeau

Mais revenons à nos moutons (à vous, donc). Après cette digression de bon goût, avouons-le.

Je vais continuer à baser (j'ai presque utilisé schéma narratif, mais je ne peux pas. Primo, ce serait mentir, Levi, je n'ai pas de plan) mes idées (ah oui, au fait, baser pour jeter les bases, quoi) à la va-comme-je-te-pousse (j'ai presque utilisé pisse, mais je t'épargne celle-là).

J'ai parlé de troupeau précédemment. Attention ! On va s'arrêter tout de suite. Je n'en ai absolument rien à foutre de vous. De nouveau, c'est une sorte d'éjaculation mentale ce blog (quand j'aurais perdu du poids, parce que là, la libido est basse). Je n'ai, en aucune façon, envie de convaincre, de prosélyter (il avait raison, le Dard, la langue manque de mot en fait), de partager des opinions, des idées, de débattre ou autre conneries du genre.

Ton avis, je m'en pète. Le tien aussi, toi, là-bas, qui s'est fait instruire, à l'endroit et à l'envers, dans nos chères universités ou écoles ; là où on pense plus haut que son cul et où on écrit avec les reliquats de ces pets cérébraux. Tiens, en passant, je t'invite à lire Evguénie Sokolov, conte parabolique dans le vent.

Donc, je ne serais pas un berger pour ton troupeau. Ici, pas de  salvation. Pas de vérité. Pas de « Oh oui, c'est bon, je signe où pour la prendre un peu plus profond ? » Tu veux appartenir ? Tu veux chorusser (du mot chorus, comme tu l'auras deviner ou non), va voir l'imam de ton quartier (si, si, il y en a un pour sûr, cherche bien). Ou le prêtre si tu es un peu nazillon. Le nouveau pape est fervent de dictatures, non ? Oui ? Peut-être, hein ? Voire ton député ! C'est pareil, tout ça. Ça mange au même ratelier spirituel.

On va créer un nouveau post, mon pote, histoire d'aérer l'atmosphère de ce paragraphe flirtant avec l'eschatologie (et, en effet, ami Garcimore, de la scatologie) !








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